Notes : Le bonheur de Fred, c’est Beaupré et ses cent hectares de terre. Il y règne en maître absolu, terrorisant sa femme et ses deux fils, mariés l’un et l’autre. Lorsqu’il meurt, chacun se sent soulagé : enfin, ils vont vivre ! C’est compter sans le testament. Quand le notaire lit les premières lignes, ses trois enfants et ses brus comprennent qu’il continuera à régenter Beaupré : Vous penserez qu’il s’agit certainement d’une vengeance. Vous aurez raison… Comment les vivants déjoueront-ils la perversité du défunt ? Jacques Mazeau entretient un suspense cruel parmi les paysans qui vivent selon la loi du plus fort.