Notes : Le Cercle des Poètes disparus, qui a définitivement imprimé en nous les visages de Robin Williams et Ethan Hawk, est avant toute chose une oeuvre évidemment majeure. Non pas tant d'un point de vue strictement littéraire ou poétique que philosophique et tout simplement vital. Cette petite merveille de liberté de conscience, de choix et de vie doit être lue par tout un chacun au moins une fois dans sa vie. Apprendre à penser par soi-même, tout simplement. Par contre, la traduction est une véritable ignominie mais celle de Broca est pratiquement la seule toujours disponible. On ne saurait trop conseiller aux anglophones de le lire dans sa version originale pour éviter d'y entendre des vers scandés comme une publicité de supermarché.