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| Auteurs | boisier, régine (Auteur) |
| Edition | Fontaine de Siloé (La) : Paris , 1996 |
| Collection | les chants de la terre |
| Collation | 311 p. |
| Format | 22x14 |
| ISBN | 2-84206-015-6 |
| Langue d'édition | français |
| Langue d'origine | français |
| Catégories | Fonds Savoie |
| Nombre de réservation(s) actuelle(s) : 0 | |
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Notes : roman historique
Aux alentours de 800, en Saboia. L’Empire franc, l’ombre immense de Charlemagne, les hordes de ses soldats lancés contre la Saxe Et les destin du jeune Saxon Harthumar et de ses frères d’armes bascule ; vaincus, ils sont emmenée en Saboia (la future Savoie) asservis, convertis de force au christianisme. Captif, définitivement arraché à sa terre natale, Harthumar jamais ne renonce à son rêve de liberté. Son cœur indomptable lui vaut l’amour de la brune Ermengarde, fille de comte. Avant d’être r.éunis, les deux amants traversent pourtant bien des épreuves. Régine Boisier, sur fond de forêts mystérieuses, de villes dévorées par la peste, de monastères clos comme des prisons, enchaîne aventures, exploits, rebondissements, séparations, reconnaissances, à grand renfort de chevauchées, de ruses et de combats au corps à corps. Mais la chevelure flamboyante d’Harthumar désigne en lui le héros invincible. Sa longue errance dans un monde hérissé de dangers s’illumine de pauses radieuses : printemps jaillissant de Saboia, douceur du soleil couchant sur Arles et ses clochetons, rose léger des pêchers en fleurs dans la vallée du Rhône, autant de promesses pour l’avenir, sur lesquelles Régine Boisier s’attarde avec tendresse. Récit légendaire ? Roman de cape et d’épée ? Et davantage encore, car Régine Boisier nourrit son imagination d’une documentation solide. Le cadre historique de l’Empire franc à cette époque est restitué avec une précision rigoureuse : le génie politique de Charlemagne, qui conquiert, organise, contrôle et christianise une vaste mosaïque de peuples et de territoires ; la hiérarchie sociale : comtes rêvant d’Aix-la-Chapelle, évêques puissants, moines mendiants, paysans pourchassés par la disette… ; la grande salle d’un château, l’église basse, une masure au sol de terre battue, une tresse de femme, les outils et les armes… Ce Moyen Age nous est rendu si vivant et si proche que le lecteur glisse de plain-pied pour accompagner, le cœur battant, Harthumar et Ermengarde dans leur quête de l’amour et de la liberté.
Aux alentours de 800, en Saboia. L’Empire franc, l’ombre immense de Charlemagne, les hordes de ses soldats lancés contre la Saxe Et les destin du jeune Saxon Harthumar et de ses frères d’armes bascule ; vaincus, ils sont emmenée en Saboia (la future Savoie) asservis, convertis de force au christianisme. Captif, définitivement arraché à sa terre natale, Harthumar jamais ne renonce à son rêve de liberté. Son cœur indomptable lui vaut l’amour de la brune Ermengarde, fille de comte. Avant d’être r.éunis, les deux amants traversent pourtant bien des épreuves. Régine Boisier, sur fond de forêts mystérieuses, de villes dévorées par la peste, de monastères clos comme des prisons, enchaîne aventures, exploits, rebondissements, séparations, reconnaissances, à grand renfort de chevauchées, de ruses et de combats au corps à corps. Mais la chevelure flamboyante d’Harthumar désigne en lui le héros invincible. Sa longue errance dans un monde hérissé de dangers s’illumine de pauses radieuses : printemps jaillissant de Saboia, douceur du soleil couchant sur Arles et ses clochetons, rose léger des pêchers en fleurs dans la vallée du Rhône, autant de promesses pour l’avenir, sur lesquelles Régine Boisier s’attarde avec tendresse. Récit légendaire ? Roman de cape et d’épée ? Et davantage encore, car Régine Boisier nourrit son imagination d’une documentation solide. Le cadre historique de l’Empire franc à cette époque est restitué avec une précision rigoureuse : le génie politique de Charlemagne, qui conquiert, organise, contrôle et christianise une vaste mosaïque de peuples et de territoires ; la hiérarchie sociale : comtes rêvant d’Aix-la-Chapelle, évêques puissants, moines mendiants, paysans pourchassés par la disette… ; la grande salle d’un château, l’église basse, une masure au sol de terre battue, une tresse de femme, les outils et les armes… Ce Moyen Age nous est rendu si vivant et si proche que le lecteur glisse de plain-pied pour accompagner, le cœur battant, Harthumar et Ermengarde dans leur quête de l’amour et de la liberté.
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